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Introduction
Une politique majeure mais invisible ? (Page 6)
Travailler en protection de l’enfance (Page 7)
Entre cadre juridique et relation humaine, un domaine particulièrement complexe (Page 8)
Une singularité de l’engagement (Page 9)
Un travail qui vous aspire, mais dont « il est sain de partir »
1950-1980. Un département humaniste, qui se donne les moyens d’être solidaire (Page 11)
L’ambition immense de la Cité de l’enfance (Page 13)
Une initiative du Conseil général
L'enjeu de s’adapter à une société en profonde mutation (Page 14)
Recréer l’image de la famille dans l’institution (Page 16)
Une Cité utopique (Page 17)
Années 1990. Le grand dépoussiérage de l’ASE (Page 19)
La fin du « bon service contre les mauvais parents » (Page 21)
Des inspecteurs de la DDASS aux attachés territoriaux : une déperdition des connaissances ? (Page 23)
Des professionnels convaincus et engagés (Page 27)
La territorialisation des services ou l’éclatement de l’ASE sur les territoires
Création de l’IDEF et choc des cultures (Page 33)
Années 2000. Reconfiguration des rôles et des missions (Page 42)
La difficulté de jouer le rôle de chef de file dans la galaxie partenariale de la protection de l’enfance
Une évolution des situations qui met à mal les missions de l’ASE (Page 56)
D’un espace d’engagement à une crise des vocations (Page 59)
En guise de conclusion, du Conseil général à la Métropole de Lyon (Page 62)
Annexes : Bibliographie / Liste des entretiens (Page 63)