Malgré l’idée d’un supposé backlash écologique, les différentes forces vives de notre société ne seraient-elles pas plus engagées que jamais dans leurs efforts de transformation ?
Au sein des entreprises, salariés comme managers proposent des évolutions aux airs de ruptures.
De même, les pollutions mobilisent contre elles de manière inédite, comme l’illustre la mise à l’agenda démocratique local des enjeux de qualités de l’eau et de l’air.
Ainsi, comme nous y invite Alain Eraly, il peut être utile d’interroger notre rapport à la vérité et, pourquoi pas, en tirer un bilan rassurant : et si le meilleur était à venir ?