Une dynamique de l'insignifiance : les médias, les citoyens et la chose publique dans la "société de l'information"
Une dynamique de l'insignifiance : les médias, les citoyens et la chose publique dans la "société de l'information"
Étude
La collectivité n'aurait pas pris la pratique de l'information assez au sérieux pour permettre l'émergence d'une expertise solide et dépassionnée de la médiation dont l'importance apparaît pourtant chaque jour plus capitale et la vulnérabilité plus grande.Par quel étrange paradoxe l'essor annoncé d'une " société de l'information " peut-il faire abstraction des problèmes que rencontre l'information de la société ?
Telle est l'interrogation initiale d'une étude contre-courant, qui, à partir d'un point de départ classique - le foisonnement des discours technicistes sur l'évolution des médias - opère deux vigoureux recentrages vers les " informés " et vers les " informeurs ". Les nombreuses données analysées ici montrent que les publics - lecteurs ou électeurs - accordent de moins en moins d'attention à l'information commune. Quant aux éditeurs, journalistes et autres acteurs de l'espace public de la communication, ils apparaissent désormais face à cette menace qui pourrait bien concerner aussi l'essence même du débat démocratique.
Le livre éditée aux Presses de l'Enssib (novembre 2002) est issu de deux recherches menées entre 1999 et 2001 pour la Mission prospective de la Communauté urbaine de Lyon.
Une multitude de médias associatifs, locaux et citoyens pourrait-elle un jour constituer un rempart contre la désinformation et le manque d’indépendance des médias mainstream ?
Les grands parcs apparaissent comme des espaces à part, qui proposent une nature organisée par l’homme et reflètent les préoccupations des époques qu’ils traversent.
L’Hôtel du département du Rhône a la particularité d’abriter à la fois le Département du Rhône, collectivité territoriale, et la Préfecture du Rhône, service de l’État dans le département.
Dans le récit de la constitution des sites archéologiques de Saint-Romains-en-Gal et de Fourvière, prenons conscience de la valeur des traces civilisationnelles qui nous sont données à voir.