Dans quelle mesure les artistes peuvent-ils contribuer à une société de la connaissance et à la vitalité de la vie urbaine ? Comment les repérer et les solliciter ? Comment les associer à des dispositifs de politiques publiques ?
L’économie de la culture a longtemps été comprise comme un oxymore… Ça n’est que très récemment, que la dimension économique de l’art a commencé à être étudiée scientifiquement. Hasard ou conséquence, le modèle économique capitaliste classique cherche aujourd’hui à se régénérer en misant sur la gestion des idées et des connaissances et englobe dans ce vaste champ les arts et la culture.
Cette hypothèse, cristallisée et popularisée via la notion de créativité, s’impose partout et notamment pour dynamiser et identifier les villes. L’agglomération lyonnaise participe de ce phénomène, en ajustant ce modèle à ses caractéristiques locales.
Les grands parcs apparaissent comme des espaces à part, qui proposent une nature organisée par l’homme et reflètent les préoccupations des époques qu’ils traversent.
L’Hôtel du département du Rhône a la particularité d’abriter à la fois le Département du Rhône, collectivité territoriale, et la Préfecture du Rhône, service de l’État dans le département.
Dans le récit de la constitution des sites archéologiques de Saint-Romains-en-Gal et de Fourvière, prenons conscience de la valeur des traces civilisationnelles qui nous sont données à voir.