Sommaire :
Les principaux mécanismes de mise à la rue : exclusion économique ruptures familiales
● Les ruptures familiales, premier facteur de perte du logement et d’isolement sur le long terme
● Les difficultés financières, un facteur de perte du logement qui s’intensifie depuis ces dernières années
● Manque de ressources, trajectoires difficiles : les jeunes adultes, un public particulièrement vulnérable
Des profils en hausse majeure qui renouvellent les visages de la sans-domiciliation
● Les migrants, une explosion récente et probablement encore sous-estimée
● Les familles, nouveaux visages les plus visibles de l’explosion des sans-domiciles
● Les femmes, public encore méconnu, dont les besoins sont aujourd’hui mal pris en charge
Des freins nombreux qui compliquent l’accès au relogement pour certains publics
● Les anciens détenus, un public important qui subit de plein fouet la sortie de l’institution carcérale
● Faibles revenus, exclusion sociale et professionnelle : les personnes handicapées à la rue
● Les troubles psychiques, cercle vicieux de l’exclusion sociale dans la rue
● Les mineurs étrangers isolés, victimes des apories de la prise en charge
Des publics et besoins méconnus qui constituent des angles morts de la prise en charge
● Les seniors, une population en très grande vulnérabilité
● Les jeunes LGBT, un public spécifique qui souligne la diversité des besoins dans les dispositifs de prise en charge
● Le refus d’hébergement : un phénomène mal compris, qui reflète pourtant certaines réalités de la rue
● La mise en lumière des morts dans la rue, un éclairage sur les publics les plus fragilisés
À lire en complément sur le blog Ville Inclusive : Les sans-abris, ces grands inconnus des statistiques